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  • Les températures maximales moyennes au printemps sont les moyennes arithmétiques des valeurs maximales quotidiennes de températures relevées de mars à mai. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • La pluviométrie en période de recharge est le cumul des précipitations tombées d'octobre à mars, comptées en hauteurs d’eau et exprimées en millimètres. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • Une journée est comptée comme jour de pluie lorsque le cumul de précipitations sur cette journée atteint au moins 1 mm. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • Les températures maximales moyennes d'hiver sont les moyennes arithmétiques des valeurs maximales quotidiennes de températures relevées de décembre à février. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • Les températures maximales moyennes d'automne sont les moyennes arithmétiques des valeurs maximales quotidiennes de températures relevées de septembre à novembre. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • Ce document présente quelques illustrations de ce que pourrait être le climat futur des Pays-de-la-Loire. L'évolution de divers paramètres climatologiques y est cartographiée pour divers horizons climatiques. La climatologie de référence est établie à partir des observations sur la période 1971-2000 et d’une méthode de spatialisation fine (résolution 1km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY). Les simulations climatiques sont obtenues en superposant la variation (écart à la simulation de référence) projetée par le modèle ARPEGE-CLIMAT (résolution 50km) et la climatologie de référence pour 3 horizons (2030, 2050 et 2080) et pour 3 scénarios du GIEC (A2, A1B et B1) - moyennes trentenaires autour de 2030 (2016- 2045), 2050 (2036-2065) et 2080 (2066-2095) - pour 3 scénarios du GIEC (A2, A1B et B1) Il s'agit ici d'illustrations des effets du changement climatique selon un modèle et plusieurs scénarios d'évolution des GES. Toute utilisation des résultats doit prendre en compte l'incertitude inhérente au modèle et aux scénarios utilisés, mise en évidence au travers des résultats d'autres modèles sur la plateforme DRIAS : --> http://www.drias-climat.fr/

  • La pluviométrie en période de recharge est le cumul des précipitations tombées d'octobre à mars, comptées en hauteurs d’eau et exprimées en millimètres. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • La pluviométrie annuelle est le cumul des précipitations tombées sur l’année comptées en hauteurs d’eau et exprimées en millimètres. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • Les températures minimales moyennes au printemps sont les moyennes arithmétiques des valeurs extrêmes quotidiennes de températures relevées de mars à mai. La méthode de spatialisation utilisée est une méthode de résolution fine (1 km) prenant en compte le relief (méthode AURELHY) et appliquée aux observations relevées sur la période 1981-2010. La période 1981-2010 constitue la dernière période de référence en cours, qui correspond à la durée recommandée par l'Organisation Météorologique Mondiale pour établir des statistiques climatologiques.

  • La cartographie du cumul moyen annuel d'insolation est le résultat de la méthode décrite ci-après. La spatialisation de l'insolation issue des observations quotidiennes relevées aux points de mesure au sol s'avère délicate, en particulier près des côtes (phénomènes de brise côtière) ou sur les zones de relief. Les informations provenant de la base de données de flux satellitaires du Centre de Météorologie Spatiale, disponibles à une résolution fine, ont été spatialisées, puis confrontées aux cumuls d'insolation. La spatialisation finale prend donc en compte les 2 sources d'information, tout en conservant aux points de mesure les données originelles.