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  • Bassins versants devant inclure un volet érosion et ruissellement dans un programme opérationnel d'aménagement ou de gestion des eaux. Le Schéma d'aménagement et de Gestion des eaux de l'Estuaire de la Loire (SAGE) identifie des zones vulnérables aux phénomènes de ruissellement et d’érosion des sols. Sur les secteurs concernés, les programmes opérationnels intègrent un volet d’actions visant à limiter l’érosion des sols et l’impact sur les milieux aquatiques. (Référence à la disposition M1-10 du plan d'aménagement de gestion durable de la ressource en eau du SAGE).

  • Jeu de données des bassins versant topographiques de France métropolitaine BD Topage® version 2019 Il s'agit d'une aire de collecte (impluvium) considérée à partir d'un exutoire ou ensemble d'exutoires, limitée par le contour à l'intérieur duquel se rassemblent les eaux précipitées qui s'écoulent en surface vers cette sortie. Les limites peuvent être la ligne de partage des eaux des eaux superficielles. Source : Circulaire du 12 janvier 2006 relative à la codification hydrographique. Correspond au concept « DrainageBasin » d'Inspire.

  • Périmètre du schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE)du Golfe du Morbihan et de la Ria d'Etel fixé par arrêté préfectoral le 26 juillet 2011.

  • Dans les secteurs favorables à la croissance des juvéniles de saumon, des pêches à l'électricité sont réalisées selon le protocole de pêche d'indices d'abondance de saumons. Cette méthode permet d'évaluer chaque année la réussite de la reproduction du saumon atlantique. Le suivi a débuté en 1997 sur 7 bassins versants (Leff, Trieux, Léguer, Aulne, Odet, Scorff, Blavet). Depuis 2012, 21 bassins versants sont prospectés. Il est porté par les quatre fédérations de pêche bretonnes et l’INRAE. La couche géographique "ia_sat_bzh" présente les indices d'abondance mesurés sur chaque station pour chaque année de suivi. Cette couche est de type vectorielle point au format shapefile en Lambert 93. Elle comprend une table attributaire présentant les indices d'abondances par opération de suivi.

  • La donnée regroupe les têtes de bassin versant pré-localisées sur le Finistère en se basant sur la définition suivante : les têtes de bassin versant correspondent aux bassins versants des cours d’eau de rangs de Strahler 1 et 2, c’est-à-dire les bassins versants des petits affluents du réseau hydrographique. Cette pré-localisation est issue d’une modélisation basée sur un Modèle Numérique de Terrain (MNT) d’une résolution de 5 mètres (2014) et sur l’inventaire départemental des cours d’eau du Finistère (version 2017). Cette modélisation ne correspond pas totalement à la réalité du terrain même si elle tend à s’en rapprocher. Le MNT est lié à la topographie du territoire. Il permet donc de délimiter uniquement des têtes de bassin versant dites topographiques. La pré-localisation des têtes de bassin versant sur le Finistère s’inscrit dans une perspective opérationnelle. En effet, cette donnée cartographique d'identification des têtes de bassin versant est un préalable nécessaire qui pourra être mobilisé afin de caractériser et hiérarchiser les têtes de bassin versant de différents territoires. Cette approche constitue un outil de gestion et d’aide à la décision permettant de cibler des entités prioritaires à forts enjeux et de travailler sur un nombre restreint de têtes de bassin. Par cette démarche permettant de cibler des têtes de bassin versant prioritaires, l’objectif est d’encourager la mise en place d’actions d’animation et de travaux au travers d’une approche transversale entre les milieux, les activités humaines et l’aménagement du territoire (cours d’eau, zones humides, bocage, continuités écologiques, pratiques agricoles, sylvicoles, gestion du pluvial…). Réaliser ce travail de priorisation sur les têtes de bassin versant, permet une approche à l’échelle d’entités hydrologiques cohérentes, de tailles plutôt petites et donc intéressantes pour une action transversale ciblée et pédagogique. La cohérence hydrologique de ces milieux permettrait également de mesurer plus facilement les effets des actions menées. Cette entrée sur les têtes de bassin pourra également renforcer la dynamique locale déjà en place sur les territoires. Usages : analyses spatiales, définition de secteurs d’action et d’animation, programme d’actions

  • Découpage hydrographique du bassin versant de la ria d'Etel en sous-bassins versants. La couche contient les noms et les surfaces des entités.

  • Le pourcentage surfacique de zones humides potentielles (ZHP, Agro-Transfert Bretagne, 2008) de Bretagne occupées par des plantations par bassin versant de masse d'eau est le résultat d'un croisement entre les zones humides potentielles et les plantations forestières (résineux et peupleraies de la BD Forêt V2 de 2012), découpé et synthétisé par bassin versant de masse d'eau. Ces données ont été produites dans le cadre du rapport "Zones humides de Bretagne – Etat de lieux des altérations, Enjeux de la restauration", disponible au lien suivant : https://rerzh.forum-zones-humides.org/ressources-et-outils/rapports/zones-humides-de-bretagne-etat-de-lieux-des-alterations-enjeux-de-la-restauration/ Un descriptif détaillé de la méthode mise en oeuvre est disponible pages 94 à 104. Pour plus d'informations sur les zones humides potentielles de Bretagne (méthode, intérêts, limites...) : https://agro-transfert-bretagne.univ-rennes1.fr/Territ_Eau/CONNAISSANCES/Outils_d_analyse_du_paysage/ZHPot0.php?orig=ok

  • Le pourcentage surfacique de zones humides potentielles (ZHP, Agro-Transfert Bretagne, 2008) de Bretagne occupées par des usages pouvant altérer leurs fonctions par bassin versant de masse d'eau sont le résultat d'un croisement entre les zones humides potentielles et le cumul des 5 aménagements ou usages suivants, découpé et synthétisé par bassin versant de masse d'eau : - urbanisation (surfaces artificialisées de Bretagne en 2010 de l'ADEUPa) - infrastructures de transport (BD TOPO 2017) - plans d’eau et bassins artificiels > 500 m² (BD TOPO 2019) - surfaces cultivées (RPG parcellaire 2018) - plantations forestières (BD Forêt V2 2012) Cette couche qui cumule les usages est issue de l’union des croisements entre les couches précédemment citées et les ZHP. La méthode employée permet de s’affranchir des superpositions qui peuvent exister entre les marges des données et ainsi de ne pas surestimer les surfaces totales potentiellement altérées. Ces données ont été produites dans le cadre du rapport "Zones humides de Bretagne – Etat de lieux des altérations, Enjeux de la restauration", disponible au lien suivant : https://rerzh.forum-zones-humides.org/ressources-et-outils/rapports/zones-humides-de-bretagne-etat-de-lieux-des-alterations-enjeux-de-la-restauration/ Un descriptif détaillé de la méthode mise en oeuvre est disponible pages 94 à 104. Pour plus d'informations sur les zones humides potentielles de Bretagne (méthode, intérêts, limites...) : https://agro-transfert-bretagne.univ-rennes1.fr/Territ_Eau/CONNAISSANCES/Outils_d_analyse_du_paysage/ZHPot0.php?orig=ok

  • Il s'agit d'une analyse des méthodologies utilisées pour la réalisation des inventaires communaux disponibles sur le territoire du Sage GMRE afin d'évaluer leur robustesse. Cette analyse a été réalisée par le Syndicat Mixte du Loc'h et du Sal dans le cadre d'une démarche partenariale associant les structures suivantes : le Conseil Départemental du Morbihan, le Syndicat Mixte de la Ria d'Etel, le Syndicat Mixte du Parc Naturel du Golfe du Morbihan, le Forum des Marais Atlantique et Vannes Agglo. Cette évaluation a été approuvée par délibération de la Commission Locale de l'Eau le 31 mars 2016.

  • Depuis le début des années 90, des suivis permettent d’obtenir des informations sur les flux de migrations en vue d’évaluer l’état des populations des poissons migrateurs et de suivre leur évolution. Ils sont effectués au niveau de stations de contrôle qui permettent de compter en continu les passages de poissons. Elles sont implantées sur des points stratégiques tels que des seuils équipés d’un dispositif de franchissement (passe à poissons) ou d’un système de piégeage. Ces stations ciblent l’ensemble des espèces migratrices ou spécifiquement certaines comme l’anguille. Chaque station de contrôle se caractérise par des biais structurels liés à la configuration du site. Dans certaines conditions hydrologiques (débit, marée), l'efficacité maximale des dispositifs de franchissement - donc des stations de contrôle - ne peut pas être assurée. Un certain nombre de poissons peut en effet échapper aux comptages en franchissant l'obstacle sans passer par les passes à poissons ou le piège. Selon les stations de contrôle, le bilan migratoire prend donc en compte l’échappement. 3 niveaux de qualification de la donnée ont été déterminés : - Un effectif compté qui correspond à un effectif minimal - Un effectif corrigé : correction du comptage à dire d’experts (basée sur le temps de non-fonctionnement du vidéocomptage et du temps de franchissabilité du seuil, fonction du débit) - Un effectif estimé : étude spécifique pour apprécier l’échappement d’une espèce migratrice au niveau d’une station de contrôle La couche géographique "stacomi_bzh" présente la synthèse annuelle des comptages pour chaque station de contrôle. Cette couche est de type vectoriel point au format shapefile en Lambert 93. Elle comprend une table attributaire présentant les effectifs comptés par espèce et par année pour chaque station de contrôle.